Un ami et allié fiable

Une histoire et des valeurs partagées

Les États-Unis et la Belgique entretiennent une longue histoire de partenariat, qui remonte à la fondation de la Belgique en 1830. Les deux pays se sont tenus côte à côte en temps de guerre comme en temps de paix, se soutenant mutuellement et défendant des valeurs démocratiques communes.

La Belgique restera à jamais reconnaissante des sacrifices des soldats américains en Europe durant les Première et Seconde Guerres mondiales. Des commémorations annuelles conjointes, telles que celle de la Bataille des Ardennes, témoignent de cette amitié durable. Elle constitue une base solide pour une coopération continue face aux défis mondiaux tels que la sécurité et le développement économique.

Une sécurité partagée et un leadership mondial

La Belgique occupe une position centrale en Europe — géographiquement, économiquement, politiquement et culturellement. Membre fondateur de l’Union européenne et de l’OTAN, elle a toujours contribué à la stabilité et à la prospérité économique mondiales.

L’OTAN et la sécurité internationale

En tant qu’allié fidèle, la Belgique contribue activement aux missions de l’OTAN et aux efforts internationaux de sécurité. Elle accueille des infrastructures clés de l’OTAN et soutient activement les opérations internationales. Le port d’Anvers-Bruges joue un rôle logistique essentiel pour les forces armées américaines et les autres alliés de l’OTAN.
La Belgique a été un allié des États-Unis en Afghanistan, en Libye, dans les opérations de l’OTAN et au sein de la Coalition contre Daech en Irak et en Syrie.

Un renforcement de l’Union européenne signifie un renforcement de l’OTAN : La Belgique a toujours plaidé pour un partage plus équitable des responsabilités et pour une défense européenne plus robuste. Le nouveau gouvernement belge a décidé d’accélérer l’augmentation des dépenses militaires.

Aide belge à l’Ukraine

La Belgique a engagé près de 2,5 milliards de dollars en aide militaire, humanitaire et de reconstruction directe à l’Ukraine, ainsi qu’environ 1,14 milliard de dollars via l’UE et l’OTAN. Un nouveau programme d’aide directe de plus de 1,1 milliard de dollars par an a été annoncé pour la période 2025–2029. L’aide militaire comprend le soutien aux F-16, de l’armement, des munitions, ainsi que la formation des soldats et des pilotes ukrainiens. La Belgique participe à des coalitions de capacités pour soutenir la défense ukrainienne, et fournit une aide ciblée pour le déminage, la protection des infrastructures énergétiques critiques et la réhabilitation médicale.

La Belgique, un client important de l’industrie de défense américaine

Entre 2020 et 2024, la Belgique a acheté pour plus de 6,8 milliards de dollars d’équipements américains, notamment :

• des avions de chasse F-35
• des drones MQ-9B MALE (altitude moyenne, longue endurance)
• divers types de munitions
• 322 véhicules tactiques légers (JLTV) — la Belgique est le plus grand client européen de la société OshKosh
• des achats liés au soutien des F-16 pour l’Ukraine
• des systèmes de communication et d’information
• un accès au système satellitaire américain
• une liste étendue de pièces de rechange, équipements de vision nocturne et parachutes.

Lutte conjointe contre le terrorisme

La Belgique est un partenaire de premier plan des États-Unis dans la lutte contre le terrorisme. Ensemble, les deux pays coopèrent dans le partage de renseignements, les mesures de lutte antiterroriste et les efforts pour démanteler les réseaux terroristes. L’expérience de la Belgique face aux menaces internes fournit des enseignements précieux et renforce le partenariat américano-belge dans des domaines clés :

• le partenariat stratégique en Afrique
• la lutte contre Daech 
• le partage des meilleures pratiques pour lutter contre l'extrémisme violent sur le territoire national.

Lutte contre le trafic de drogue

La Belgique et les États-Unis intensifient leurs efforts pour lutter contre le trafic de drogues synthétiques. Ils échangent leurs meilleures pratiques et partagent des renseignements afin de perturber les opérations des cartels transnationaux, en particulier ceux qui acheminent de la cocaïne et des drogues de synthèse depuis l’Amérique latine vers leurs territoires respectifs.